Le bureau de l’office du tourisme de Walhain se trouve au sein de la maison communale.L’entrée se fait par le petit jardin à l’arrière du bâtiment. Accès PMR.Walhain est labellisé « Bienvenue vélo » : un équipement de petites réparations est à votre disposition dans l'abri à vélo. L’office du tourisme vous invite à découvrir de jolies balades, à pied ou à vélo, au calme de sa campagne, grâce aux différentes cartes et circuits de promenades mis à votre disposition.Consultez régulièrement la page Facebook pour connaître nos permanences estivales et le programme varié des visites guidées qui sont proposées.

L'église Notre-Dame, à Walhain, est le siège d'un doyenné.C'est un bel édifice moderne qui possède : Une croix triomphale, fleurdelysée, en chêne sculpté, ayant 2m63 de hauteur; les quatre branches portent    les emblèmes des quatre évangélistes; elle date de 1540 environ. Deux lanternes de procession en cuivre, du XVIIIe siècle. Un Bon Dieu de pitié, en chêne, du XVIe siècle. Deux pierres tombales gisent le long de l'église.

Au confluent du Hain et du ry des Radas, dans un cadre topographique relativement bien préservé, se nichent les ruines du château féodal des XIIe et XIIIe siècles. Celui-ci fut le centre d'une seigneurie qui se développa dans la seconde moitié du XIIe siècle avec la famille des Walhain. Après être passée entre différentes mains, la seigneurie tomba dans l'escarcelle de la puissante famille des "de Glimes" et des "de Bergues" de 1430 à 1567. Ce fut son heure de gloire car, en 1532, Charles-Quint érigera la terre de Walhain en chef-lieu d'un comté qui comprenait de nombreux villages des alentours ainsi que la ville de Wavre. C'est à ce moment que le château-fort fut réaménagé en château de plaisance. Les ruines du château féodal sont encore entourées d'un double réseau de douves, aujourd'hui asséchées. Édifié en plusieurs étapes à l'époque médiévale, il présente les caractéristiques du château philippien, à savoir un plan polygonal dont le donjon occupe l'un des angles. Ce dernier, la partie la mieux conservée et la plus ancienne, remonte à la fin du XIIe siècle. De la poterne, des courtines et des tours d'angle, édifiées quelques décennies après le donjon, il ne subsiste que la base.Le château féodal est classé comme Monument Historique depuis 1955 et comme Site depuis 1980.Le site est accessible sur demande à l'Office du Tourisme de Walhain.

Saviez-vous que le centre géographique de la Belgique se situe en Brabant wallon, et plus précisément à Walhain ? Au lieu-dit "Le Tiège", dans la vallée du Nil, une structure métallique a été installée en ce point précis. Elle a été construite par un architecte de la commune et intègre divers symboles propres à la Belgique :- le socle représente la croute terrestre,- le triangle schématise la Belgique,- les trois pylônes symbolisent les trois régions.Avant le Traité de Versailles en 1919, le centre de la Belgique était placé à Ittre car les cantons de l’Est n'étaient pas intégrés au royaume.

Classé comme Monument historique en 1946, ce moulin à vent a été érigé en 1834 par la famille Thienpont et constitue le plus bel exemple du Brabant wallon.

La chapelle Sainte-Etienne est implantée à la sortie du village. Elle a été construite par un ouvrier communal de l’entité en 1948 en remerciement d’être revenu indemne de la seconde guerre mondiale.Elle est dédiée à Saint Etienne, saint patron de la Hongrie. Né sous le nom de Vajk, Etienne fut le fondateur du royaume de Hongrie dont il devint roi en 1001. Il fut canonisé 45 ans après sa mort pour l’évangélisation de son pays.

La Tour d’Alvaux dite aussi la « Tour de Sarrasins » est un donjon datant de la fin du 12ème siècle construit également à proximité de l’Orne. Située, actuellement dans l’enceinte d’un camping, cette fortification fût occupée à l’époque par des descendants des Seigneurs de Walhain. En 1199, l'abbesse Berthe de Nivelles donne des terres incultes à Arnoul II, seigneur de Walhain, lequel y fait ériger peu après (avant 1217 semble-t-il) un donjon et un moulin à eau. Ce domaine restera en possession des Walhain jusqu'en 1472. De cette exploitation domaniale, ne subsistent plus que le donjon, en ruines, et le volume d'une ancienne grange (no 107) en long transformée, le site ayant été aménagé en camping depuis 1970. Ce bâtiment a été classé, en 1989, comme Monument Historique.

L'hôtel "Le Piano II" vous accueille dans un cadre chaleureux et un environnement attrayant et propose des chambres équipées de kitchenette, d'un frigo, d'une salle de bain (douche ou baignoire), d'une tv, du wifi gratuit et d'une terrasse pour les chambres situées à l'arrière. Ouvert toute l'année.

Cette magnifique bâtisse des XVIIe et XVIIIe siècles, remarquable par son porche-colombier, sa cour d’honneur et son corps de logis, constituait le cœur de la petite seigneurie del Haize à Nil-Saint- Martin.

Tous deux situés à un croisement de chemins en étoile, au hameau de Libersart, ces tumuli témoignent de la présence d'un vicus à Tourinnes-Saint-Lambert aux 2ème et 3ème siècles de notre ère.

La présence de tumuli en Hesbaye est relativement fréquente. On en dénombre, encore aujourd'hui, une petite cinquantaine dans un espace géographique regroupant le Brabant wallon, le sud du Limbourg, la province de Liège et le nord de celle de Namur. Il en existait beaucoup plus, mais bon nombre de ceux-ci ont disparu à l'heure actuelle.
Le développement de la Cité des Tongres et le tracé de nombreuses routes romaines dans la région, dont l'importante chaussée Bavay-Tongres-Cologne, explique en partie la prolifération de ces tombes gallo-romaines.

Inscrites sur la "route des tumuli de Hesbaye", les deux tombes de Libersart sont espacées d'une centaine de mètres l'une de l'autre. Le tertre ouest dissimulé dans un bosquet, s'élève à une hateur d'envrion 4 mètres 50.

Le tertre est, situé dans une parcelle cultivée, atteint une hauteur de 6 mètres 20.

Ces deux tumuli ont été fouillés en 1910 et 1911 par la société Archéologique de Bruxelles.
Mis à part la trace d'un pieu de bois au centre du tumulus ouest, les recherches furent infructueuses car, comme la majorité d'entre eux, ils furent probablement pillés au cours du temps.

Les tumuli de Libersart ont été classés comme Site en 1972.

Cette ferme se situe à l’entrée du hameau de Lerinnes en venant du centre du village de Tourinnes-Saint-Lambert.Il s’agit du seul témoignage significatif des Trinitaires en Belgique, un ordre militaire qui ne connut que neuf implantations sur le territoire de notre pays.C’est une ancienne ferme d’un ensemble abbatial édifié en 1218 par Gilles de Lerinnes. La tradition raconte que ce dernier aurait érigé ce prieuré en reconnaissance à l’égard de l’ordre des Trinitaires qui, lors de sa captivité en Terre sainte à l’époque des Croisades, l’a libéré des Infidèles. Considérés comme inutiles par Joseph II en 1787, les bâtiments conventuels furent supprimés, à l’exception de l’exploitation agricole.

La chapelle Notre-Dame des Trois Tilleuls se situe près du hameau de Lérinnes, anciennement commune de Tourinnes-Saint-Lambert, actuellement commune de Walhain. Elle est juchée sur une butte d'environ deux mètres de hauteur et enserrée par trois tilleuls. Ses murs en pierre de Gobertange ont été récemment recouverts d'un cimentage avec imitation de joints et ses fondations ont été renforcées par une dalle de béton périphérique. Elle fut érigée vers 1920 par Charles Hanquet à l'emplacement d'une chapelle primitive devenue très célèbre au début des années 1500 par les miracles qui s'y seraient accomplis. On venait notamment prier la Vierge en ce lieu-dit Aux Trois Tilleuls pour les maladies des yeux.