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Le Dernier Quartier Général de Napoléon est le seul musée napoléonien de Belgique. C'est dans cette ancienne ferme que Napoléon a imaginé sa stratégie et ses plans de bataille.
Situé à 4 km de la Butte du Lion, le musée abrite, dans un décor authentique d'époque, une multitude d'objets provenant essentiellement de l'armée française, dont le lit de camp de l'Empereur.
La nouvelle scénographie du DQGN permet de mieux s’imprégner de ce lieu historique, de mieux comprendre l’histoire, tout en se divertissant. L’accent est mis sur les événements de la nuit du 17 au 18 juin et sur de nombreuses anecdotes de la vie civile et militaire.
Suivez Napoléon, ses officiers, les aides de camps et les chirurgiens durant les heures qui ont précédé la bataille ! Des audio-guides retraçant le déroulement de la bataille vous accompagnent de salle en salle au-travers de plusieurs protagonistes.
Afin de garantir l’accessibilité à tous, le musée a développé différents niveaux de lecture (adultes et enfants). Une attention particulière est également portée aux personnes à mobilité réduite, malvoyantes et malentendantes.
Un magnifique verger accueille chaque année un bivouac de plusieurs centaines de soldats.
Heures d'ouverture:
Tous les jours :
Du 01/04 au 30/09 : 9h30 - 18h
Du 01/10 au 31/03 : 10h - 17h
Fermé le 01/01 et le 25/12
Site web :
www.dernier-qg-napoleon.be/
Découvrez ce haut lieu du souvenir de la bataille du 18 juin 1815 au-travers de 4 attractions situées sur le Champ de bataille de Waterloo :- La Butte du Lion vous offre une vue unique sur le champ de bataille après une ascension mémorable de 226 marches. Ce tumulus de 40 mètres fut érigé à l'endroit présumé où le Prince d'Orange fut blessé avant de devenir Roi des Pays-Bas.- Enterré à ses pieds, le Musée du Mémorial vous fait revivre une des époques les plus tourmentées de notre Histoire comme si vous y étiez... Guidé par un soldat de votre armée favorite, vous découvrirez la mécanique qui a conduit à la bataille dans une expérience multisensorielle unique en Europe ! Vous en apprendrez plus sur les affrontements, avant, pendant et après la bataille, ainsi que sur les armements de l’époque.- Le Panorama est une immense fresque de 110m de circonférence et de 12m de haut, réalisée en 1912 par le Français Louis Dumoulin, qui vous immerge au cœur de la bataille avec une sonorisation impressionnante. Le Panorama illustre un moment clé de la bataille alors que celle-ci fait rage.- Dernier témoin authentique de la bataille, la Ferme d'Hougoumont est sans conteste le monument le plus emblématique et le mieux conservé quant à l’aspect qu’il avait au lendemain de la bataille. Elle a été l'enjeu de combats acharnés entre les Français et les Anglais. Le front anglais a résisté à l'offensive française durant la journée du 18 juin 1815. Ne tardez pas à découvrir ce lieu de mémoire, équipé d’une scénographie inédite et proposant un spectacle multimédia surprenant. Les troupes anglaises ont par ailleurs reçu leur monument commémoratif, installé dans la cour.
Le 15 juin 1815, le duc de Wellington décida d’établir son hôpital de campagne dans la Ferme de Mont-Saint-Jean. Pendant et après la bataille de Waterloo, près de 6000 soldats y furent soignés.Cet ancien hôpital, guère aseptisé, est aujourd’hui devenu un musée : "le Revers de la Médaille". Venez découvrir le travail des chirurgiens en temps de guerre, les instruments de chirurgie utilisés, les armes, les uniformes, les munitions,… avec une recontextualisation des faits impressionnante. Des témoignages et des illustrations du travail du chirurgien écossais Charles Bell présent sur les lieux en juin 1815 seront également exposés.Découvrez également la micro-distillerie et la micro-brasserie installées sur place et apprenez-en davantage sur l’histoire de la bière de Waterloo, sur son processus de brassage, avant de profiter d’un moment de dégustation.
Le Mémorial 1815 regroupe 4 activités sur un seul site, le Champ de Bataille de Waterloo 1815 !
Mémorial :
Enterré au pied de la Butte du Lion, le Mémorial vous permet de vivre une des époques les plus tourmentées de notre Histoire ... comme si vous y étiez. Guidé par un soldat de votre armée favorite, vous découvrez la mécanique qui conduit inexorablement au coeur de la bataille, dans une expérience multisensorielle unique en Europe! Pendant 15 minutes, vivez les phases clés, en taille réelle: sur un écran 3D, panoramique de 25 mètres de base, dans une salle truffée d'effets spéciaux!
Panorama :
À côté du Mémorial 1815, le Panorama, vaste bâtiment circulaire, abrite la toile peinte par Louis Dumoulin en 1912 pour la célébration du premier centenaire de la bataille. Cette gigantesque fresque atteint les dimensions spectaculaires, dignes de son sujet éminemment dramatique : 110 mètres de circonférence sur 12 mètres de haut.
Butte du Lion:
Cette butte de 40 mètres fut érigée à l'endroit présumé où le Prince d'Orange (1792-1849) fut blessé avant de devenir Roi des Pays-Bas (de 1840 à 1849). Du haut du tertre, le regard embrasse l'ensemble du Champ de bataille et il est alors facile de se rendre compte de ce que purent être les formations en carré de l'infanterie ou des déploiements de la cavalerie. Une table d'orientation indique les positions défendues aux différentes étapes de la bataille.
Ferme d'Hougoumont:
Cette ferme fortifiée fut le cadre de combats meurtriers. Position avancée protégeant l'aile droite des alliés au même titre que la ferme de la Haie-Sainte et la ferme de Papelotte, Napoléon y déclencha l'action le 18 juin vers 11h30. Ce qui ne devait être au départ qu'une manœuvre de diversion est devenu le point le plus violent de la bataille. Les assauts français y furent terribles et vains. On s'y battit férocement jusque vers 19 heures. Le verger et le jardin changèrent sept fois de mains tandis que les bâtiments restèrent aux mains des 1 500 soldats de la coalition. Le corps de logis fut incendié. La maison que l'on voit aujourd'hui est l'ancienne maison du jardinier. Victor Hugo lui a consacré deux chapitres dans son ouvrage Les Misérables.
Cette belle ferme, tout comme Hougoumont et la Papelotte, fut transformée en fortin par les Alliés (6 compagnies du 2ème bataillon d’infanterie légère de la Légion Germanique du Roi (KGL), renforcées plus tard par 2 compagnies nassauviennes). Lorsque les Français réussirent à occuper la ferme, il était trop tard pour changer le sort de la bataille.
Premier monument élevé sur le champ de bataille en 1817 par sa famille, en l’honneur du lieutenant colonel Gordon, 29 ans, aide de camp de Wellington et mortellement blessé durant la bataille.
Lieu emblématique de la bataille de Waterloo. Cette ferme fortifiée fut le cadre de combats meurtriers. Position avancée protégeant l'aile droite des alliés au même titre que la ferme de la Haie-Sainte et la ferme de Papelotte, Napoléon y déclencha l'action le 18 juin vers 11h30. Ce qui ne devait être au départ qu'une manœuvre de diversion est devenu le point le plus violent de la bataille. Les assauts français y furent terribles et vains. On s'y battit férocement jusque vers 19 heures. Le verger et le jardin changèrent sept fois de mains tandis que les bâtiments restèrent aux mains des 1 500 soldats de la coalition. Le corps de logis fut incendié. La maison que l'on voit aujourd'hui est l'ancienne maison du jardinier.
Victor Hugo lui a consacré deux chapitres dans son ouvrage Les Misérables.
Une nouvelle scénographie époustouflante. La ferme d' Hougoumont fait partie intégrante du ticket combiné Mémorial 1815 et renferme depuis le 18 juin 2015 une scénographie inédite: 4 salles d'exposition ainsi qu'un spectacle multimédia impressionnant!
Heures d'ouverture et accès:
Fermée en semaine du 06/01 au 22/02
Ouverture sur demande 48h avant.
Ouverte les week end.
Site web:
www.waterloo1815.be/presentation-memorial-waterloo-1815/
Cette œuvre émouvante du sculpteur français Gérôme fut élevée à la mémoire de l’armée française et dédiée aux Derniers Combattants de la Grande Armée, à l’endroit présumé où le dernier carré de la Garde Impériale mena une ultime et vaine résistance face aux Alliés.
Victor Hugo réserva dans son œuvre un chapitre épique à la tragédie de Waterloo. Dans «les Misérables» et «Les Châtiments», il traduit la grandeur impériale et dévoile son naufrage dans ce qu’il appela la «morne» plaine.
Curieusement, la ferme de la Belle Alliance ne doit pas sa dénomination à la rencontre historique des deux vainqueurs de Waterloo, Wellington et Blücher, au soir de la bataille. Cette appellation lui fut attribuée, à la suite du mariage de la propriétaire du bien avec son valet de ferme !
C'est ici, dans son Dernier QG, que Napoléon a imaginé sa stratégie et ses plans de bataille. Situé à 4 km de la Butte du Lion, le musée abrite, dans un décor authentique d'époque, une multitude d'objets provenant essentiellement de l'armée française, dont le lit de camp de l'Empereur.La scénographie du DQGN permet de mieux s’imprégner de ce lieu historique et de mieux comprendre l’histoire. L’accent est mis sur les événements de la nuit du 17 au 18 juin et sur de nombreuses anecdotes de la vie civile et militaire. Des audio-guides retraçant le déroulement de la bataille vous accompagnent de salle en salle au-travers de plusieurs protagonistes.Afin de garantir l’accessibilité au plus grand nombre, le musée a développé différents niveaux de lecture (adultes et enfants). Une attention particulière est également portée aux personnes à mobilité réduite, malvoyantes et malentendantes.
Erigé en 1819 à Plancenoit, en souvenir des 6.700 Prussiens morts sur le champ de bataille, ce mémorial est dû au plus célèbre architecte allemand du XIXème siècle, Schinkel.
Incendiée lors des combats de 1815 et reconstruite en 1860, la ferme, défendue par un régiment de Nassau, constitua un bastion couvrant le flanc gauche des troupes de Wellington. Le soir de la bataille, un corps d’armée allemand y déboucha, déterminant la complète déroute de l’armée française.
Soeur Sourire, auteur-interprète du retentissant tube «Dominique», n°1 au Top américain en 1963, a vécu dans le Couvent de Fichermont, situé à quelques centaines de mètres de la célèbre Butte du Lion.
Erigé en 1818, le Monument des «Hanovriens» est un bloc en pierre bleue, en forme de pyramide tronquée, érigé en l’honneur de la King’s German Legion (KGL), vaillants défenseurs de la Haie Sainte.
Erigée en 1914, cette oeuvre de Callewaerts commémore le sacrifice des soldats belges tués le 18 juin 1815. En 1815, la Belgique indépendante n’existait pas encore et des Belges combattirent dans les deux camps.
Le 15 juin 1815, le duc de Wellington décida d’établir son hôpital de campagne dans la Ferme de Mont-Saint-Jean. Pendant et après la bataille de Waterloo, près de 6000 soldats y furent soignés.
Cet ancien hôpital, guère aseptisé, est aujourd’hui devenu un musée. Venez découvrir le travail des chirurgiens en temps de guerre, les instruments de chirurgie utilisés, les armes, les uniformes, les munitions,… avec une recontextualisation des faits impressionnante.
Des témoignages et des illustrations du travail du chirurgien écossais Charles Bell présent sur les lieux en juin 1815 seront également exposés.
L’histoire plus large de la ferme est aussi présentée. Vieille de plus de huit siècles, elle a été occupée par l’Ordre de Malte, s'est muée en exploitation agricole et a accueilli une brasserie. Profitez-en également pour déguster la bière de Waterloo, brassée sur place.
Généralement qualifiée de dernier témoin authentique de la Bataille de Waterloo, la Ferme d’Hougoumont est également appelée Ferme de Goumont (en référence au lieu-dit situé à Braine-l’Alleud).La Ferme d'Hougoumont est sans conteste le monument le plus emblématique et le mieux conservé quant à l’aspect qu’il avait au lendemain de la bataille. Elle a été l'enjeu de combats acharnés entre les Français et les Anglais. Le front anglais, long d'environ 3,5 km d'Hougoumont à la Papelotte, a résisté à l'offensive française durant la journée du 18 juin 1815. Le Duc de Wellington avait d’ailleurs coutume de dire que la bataille n’avait pu être gagnée que grâce à la fermeture des portes d’Hougoumont : “The success of the battle turned upon the closing of the gates at Hougoumont”.Après la bataille, la plupart des bâtiments d'Hougoumont étaient en ruine ou incendiés. Les murs des quelques bâtiments encore subsistants étaient parsemés d'éclats d'obus ou de trous de balles. Les arbres étaient dans un état lamentable avec leurs troncs déchiquetés, les branches et feuilles arrachées. Le château, complètement ruiné, était évidemment inhabitable. À l'heure actuelle, on ne peut plus voir du château que ses fondations.Ne tardez pas à découvrir ce lieu de mémoire, de réflexion et de réconciliation, équipé d’une nouvelle scénographie mettant en avant les moments historiques d’Hougoumont à travers différentes séquences, bas-reliefs et autres documents. Les troupes anglaises ont par ailleurs reçu leur monument commémoratif, installé dans la cour.
A 30 km de Bruxelles, le Château de plaisance de Bois-Seigneur-Isaac, classé « patrimoine exceptionnel de Wallonie », date du 18ème siècle. Sa façade de style classique français est agrémentée de larges baies vitrées en plein cintre et surmontée d’un fronton triangulaire. Vous y verrez encore une tour ronde avec ses meurtrières, qui témoigne de la forteresse féodale. Le château, qui remonte probablement au 12ème siècle, faisait partie d’une série de forteresses destinées à protéger les confins du Comté de Hainaut contre les intentions expansionnistes des Ducs de Brabant. A l'arrière du château, vous pourrez vous balader dans un charmant jardin français, prolongé d'un parc à l'anglaise. On peut y observer de nombreux arbres remarquables, vieux de plusieurs centaines d’années.La famille Snoy est, depuis cinq générations, propriétaire du château de Bois-Seigneur-Isaac. Il a par ailleurs hébergé Jean-Charles Snoy et d'Oppuers, co-signataire du Traité de Rome qui marqua la naissance de l'Union Européenne.Saviez-vous que le village de Bois-Seigneur-Isaac tient son nom d’Isaac de Valenciennes, un membre d’une illustre famille du Hainaut ? A la fin du 11ème siècle, il planta un bois, qui existe toujours, à 500 mètres du château, le long de la route de Lillois.
L'église à nef unique des Récollets à Nivelles, en Brabant wallon, dite aussi Saints Jean et Nicolas vous séduira par son architecture et son histoire. Il s'agit en effet de l’église d'un couvent de religieux franciscains qui lui est accolé. L’ensemble forme le seul complexe conventuel conservé à Nivelles, et c’est aussi un des rares exemples d’architecture franciscaine sauvegardée dans nos régions. Elle fait partie d’un complexe architectural remarquable construit à partir de 1524 grâce aux subsides de Charles Quint et de sa tante Marguerite d’Autriche. Selon la volonté de cette dernière, les religieux – qui s’étaient installés à Nivelles 20 ans après la mort de saint François d’Assise (1226) – se rattachèrent à la branche des « Frères Mineurs Récollets » qui vivaient de manière austère et retirée. Après les troubles et les démolitions des années 1580, l’église fut reconstruite et connut une longue période de prospérité et un rayonnement spirituel incontestable jusqu’à la fin du 18e siècle. Depuis le départ des derniers Frères au début du 19e siècle, le bâtiment connut des affectations diverses : hôpital, hospice, athénée Royal et établissement judiciaire. La procédure de classement des bâtiments conventuels est en cours. L’église, classée, fut rendue au culte en 1960 et sa restauration terminée en 1972. Le jeu de couleurs des pierres bleues et blanches met en valeur la grande simplicité de l’édifice typique du style gothique tardif brabançon. Les baies élancées et de puissants contreforts rythment avec élégance le vaisseau de ce vaste sanctuaire. Seul élément décoratif : les remplages de style gothique flamboyant qui ornent le haut des fenêtres. L’espace intérieur, profond et lumineux, dégage une impression de sobriété et d’élan vertical. La clé de voûte du chœur est ornée d’un écusson aux armes de Charles Quint. Une baie aménagée dans le mur latéral sud abrite la reconstruction de la châsse de sainte Marie d’Oignies.
Fleuron de la gastronomie, du folklore et, de près ou de loin, de la culture nivelloise, la Confrérîye dèl Târte al Djote, créée le 21 septembre 1980 et composée d'un maximum de 55 membres réunis autour du Grand Bailly, a pour objet de sauvegarder et de promouvoir la recette ancestrale de la célèbre tarte aclote. Considérée comme une des valeurs sûres de la gastronomie nivelloise, la târte al djote peut se vanter d'avoir un long passé historique puisqu'elle apparaît déjà dans des textes de 1218, bien qu'elle soit très probablement beaucoup plus ancienne. Servie chaude et préparée à base de bètchéye, fromage fermenté à base de lait écrémé de vache, de beurre, d’œufs, de persil et d'oignons et de djote, nom donné à Nivelles au légume vert communément appelé la bette, cette tarte fait chaque année l'objet d'une remise très officielle et publique de labels de qualité.
Quel curieux petit bonhomme que celui-ci dont les traits nous semblent pourtant étrangement familiers !Sous sa barbe bouclée apparaît en effet le visage bien connu de son cousin, Jean de Nivelles.C'est en 1992, au cours d’une cérémonie, que le Ketje de Bruxelles, connu sous le nom de Manneken-Pis, se voit offrir un habit tout neuf de la Confrérîye dèl Târte al Djote. De là a germé l'idée chez les Confrères de créer une "mascotte" qui, à l'instar du plus célèbre bourgeois de Bruxelles, se constituerait au fil du temps une garde-robe qui en ferait pâlir plus d'un. Ainsi fut pensé, ainsi fut fait. C'est donc d'un bloc de tilleul du parc de la Dodaine que naquit Djan-Djote, cousin du déjà célèbre jacquemart surveillant la ville du haut de sa tour.Si la barbe bouclée, le cimier et le marteau sont leurs points communs, Djan-Djote assiste, quant à lui, chaque année depuis 1994 à la cérémonie de remise des labels de qualité de la Târte al Djote au Waux-Hall. A cette occasion, ainsi que lors de rencontres avec d'autres confréries, il lui est offert un nouveau costume.Pour les amateurs, Djan-Djote peut être admiré chaque jour dans les vitrines de la Maison du Tourisme du Roman Païs. Vous le verrez revêtu de différents costumes, notamment ceux offerts par le Comité du Tour Sainte-Gertrude, les Amis de la Nature, l'Association francophone des Pharmaciens Hospitaliers de Belgique, et bien d'autres encore…
Sauvé des foudres destructrices des bombardements allemands en mai 1940, le quartier Saint-Jacques est situé en plein cœur de la ville de Nivelles, au sud ouest de la Grand’Place et de la collégiale Sainte-Gertrude. Amoureusement "investi" par les amateurs de belles pierres imprégnés de l'histoire de leur ville offre au visiteur une escapade insolite en Roman Païs, Brabant wallon. Cet écrin historique est resté intact. Ses ruelles pavées et tortueuses vous plongent dans une ambiance hors du temps. Il doit son nom aux hôtelleries, hospice, églises aujourd’hui disparus, qui accueillaient tout particulièrement les pèlerins en route vers Compostelle. Relevons la maison renaissance dite « Sainte-Gertrude » du 16è siècle, avec sa façade en pierre de taille, ou l’ancienne « Grange Bayard », imposante demeure de style Régence (18è siècle) au coin de la rue du Coq. Plus loin, dans la rue de Charleroi, près de l’église des Récollets, la maison du dernier bailli de l’abbesse de Nivelles, robuste mais élégante demeure présentant deux belles façades classiques du 18è siècle fait face à l’ancien séminaire épiscopal (1608). L’ancien hôtel du Baron de Taye de la rue de la Religion, les anciens refuges de l’abbaye d’Aywières et des chevaliers de Malte, les hôtels particuliers de la rue Saint-Georges ou encore cette maison aux boulets de canon encastrés dans la façade de la rue du Pont Gotissart valent un petit détour. A deux pas de la collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles, l’ancienne tour d’enceinte fortifiée, la Tour Simone (ou Tour du Diable) date du 12è siècle. La Tourette du début du 17è siècle par contre est une élégante construction en style renaissance qui fut érigée par la grande abbesse Marguerite de Haynin pour lui servir de maison de campagne. En dehors de la zone urbaine, d’imposantes bâtisses rappellent les attaches rurales de Nivelles : la Ferme du Chapitre à Baulers, la ferme de l’Abbaye à Monstreux ou la Ferme et le Château de la Tournette, magnifique ensemble des 18è – 19è siècles.
Romantique, apaisant, coloré… bien des adjectifs peuvent qualifier le Parc de la Dodaine !Situé au cœur de Nivelles, ville phare du Brabant wallon, ce remarquable écrin de verdure possède de multiples facettes. Lorsque le soleil laisse passer quelques un de ses rayons, cet endroit devient un véritable lieu de rendez-vous. Les étendues d’herbes se transforment en table de pique-nique et l’ombre des arbres en endroit propice à la sieste. Les canards et les oies se baladent le long des berges à la rencontre des visiteurs du parc, les plus sportifs d’entre nous se défoulent un instant autour du grand lac, les enfants prennent plaisir à la plaine de jeu… Et si vous y prêtez attention, dissimulée derrière quelques branches, la somptueuse Collégiale Sainte-Gertrude vous dévoilera une partie de ses charmes…Le parc, classé, offre à la vue deux types de jardin, français et anglais. On y trouve une fontaine et un étang de plusieurs hectares où la pêche est autorisée entre avril et décembre.
La Tour Simone, également appelée Tour du Diable et située à proximité de la collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles, fut pendant de nombreuses années le local du Serment des arbalétriers, un des corps de citoyens chargés de défendre les remparts de la ville. Rénovée en 2006, celle-ci constitue aujourd'hui le dernier témoin de l'enceinte médiévale de Nivelles qui fut construite au 12ème siècle. On y dénombrait non moins de onze tours et sept portes. Cette enceinte se composait d’une puissante muraille de 2,50 m d'épaisseur, bordée de fossés partiellement inondés à l'extérieur, et renforcée de remblais sur une largeur de 8 m à l'intérieur. Dans la tour, la salle de garde voûtée et percée d’archères accueille aujourd’hui un plan en relief de la ville de Nivelles telle qu’elle se présentait vers 1600, défendue par le rempart et ses fossés. La tour est actuellement accessible dans le cadre des visites guidées de la ville de Nivelles.
Célèbre Jacquemart doré qui, dans la tourelle sud de la collégiale, frappe les heures et les demies depuis 6 siècles. Il évoque le personnage qui signale l’approche de l’ennemi ou les incendies. On l’appelle Djan-Djan depuis son transfert en 1617 sur la tourelle de la collégiale.Selon la légende, Jean de Montmorency, seigneur de Nivelles au XVIe siècle refusa de se battre contre le Duc de Bourgogne, d’où la locution populaire : « il ressemble à ce (chien de) Jean de Nivelles qui s’enfuit quand on l’appelle ». Il devient quand même un héros local, symbole de l’esprit nivellois et de son humeur gaillarde. « Vive Djan-Djan, vive Djan-Djan » chantent les Nivellois… Il mesure 2,05 m et pèse 350 kg.
Le Waux-Hall ou centre culturel de Nivelles en Roman Païs, est la salle de spectacle se prêtant à tout évènement, de la conférence, à la pièce de théâtre, jusqu’à la célèbre cérémonie de remise des labels de la târte al djote.
Avec sa nef impressionnante de 102 mètres, ses deux chœurs opposés et sa crypte du 11ème siècle, la collégiale Sainte-Gertrude est le joyau de Nivelles ! C’est l’une des plus grandes églises romanes au monde.Ce monument grandiose, d’une harmonie exceptionnelle, a été consacré en 1046 par Wazon, évêque de Liège, en présence d'Henri III, empereur du Saint-Empire Germanique. La collégiale rassemble aujourd’hui régulièrement les chrétiens de la paroisse Sainte-Gertrude.Vous pourrez également visiter la crypte, le sous-sol archéologique, le cloître et le clocher central qui abrite les cloches et le carillon. La tourelle sud héberge le jacquemart Jean de Nivelles, petit guerrier en cuivre de 2,08 m de haut.La collégiale romane de Nivelles est splendide ! Ne tardez pas à la découvrir !
Ce musée communal est installé dans l'ancien refuge du prieuré des Trinitaires d'Orival dans une magnifique et paisible demeure du 18ème siècle. Il présente des trésors de la sculpture gothique brabançonne, des modèles réduits (bozetti) d'œuvres de Laurent Delvaux (18è s.), une tapisserie de Bruxelles (16è s.), des meubles anciens. Deux salles sont consacrées à l'archéologie préhistorique et gallo-romaine.
Le plus vaste des 7 bois de l’entité de Baisy-Thy.5 sentiers publics sont réservés aux promeneurs.
Classée patrimoine exceptionnel de Wallonie, l’Abbaye cistercienne de Villers-la-Ville est remarquablement préservée depuis le 12e siècle ! Découvrez son espace d’accueil-boutique avec un large choix de produits locaux, son centre d’interprétation et son parcours de visite. Profitez d’une vue panoramique à 180° sur l’ensemble de l’Abbaye. Et plongez dans le passé grâce à la nouvelle plateforme des médiations en ligne. Participez aux nombreux événements organisés dans ce lieu enchanteur.Admirez-y également la beauté de ses 8 jardins de styles très différents. Le Jardin des Simples est garni de toutes sortes de plantes utilisées lors de la vie quotidienne au Moyen Âge. Le Jardin des moines et le Jardin de la Pharmacie présentent des plantes médicinales d'hier et d'aujourd'hui. Le Jardin de l'Abbé, le Jardin des Senteurs et son Sentier méditatif ainsi que la ligne du temps des rosiers anciens forment les trois jardins d'ornement. Deux jardins de fruits viennent compléter cet ensemble : le verger conservatoire et expérimental et le fruitier de la Porte de Bruxelles.Visitez aussi la micro-brasserie et le vignoble.En famille, entre amis ou seul, (re)découvrez l’Abbaye de Villers-la-Ville, son architecture, son histoire, ses jardins et ses animaux !
Le Bois de Lauzelle, véritable bijou naturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve, est un lieu favorable à l’évasion.Lors de votre balade, et dans l’atmosphère apaisante de ce coin de nature, vous aurez la chance de côtoyer de multiples animaux et oiseaux ainsi que d’admirer une flore très diversifiée, précieuse pour les scientifiques de cette région du Brabant wallon.Garez-vous au parking Malin "Bois de Lauzelle" pour plus de facilité !
D’une superficie de 67 hectares, le Bois des rêves porte bien son nom… Vous serez séduit par ses ruisseaux, ses vallons et sa flore remarquable. En toute quiétude, les amateurs de balades parcourront plus de 17 km de chemins balisés.Le Bois des Rêves propose aussi une piste V.T.T. en circuit fermé de 3 km, une piste de santé de 1500 mètres comprenant 15 obstacles et une piste de santé de 500 mètres pour personne à mobilité réduite avec 9 obstacles. Découvrez aussi son circuit pédestre fléché de 8,5 km pour marcher ou jogger.De mars à décembre, l'étang est accessible aux amateurs de pêche au blanc. Un ponton de pêche pour personnes à mobilité réduite est prévu dans le domaine.Les plus jeunes (de 2 à 13 ans) profiteront des plaines de jeux mises gratuitement à leur disposition : balançoires, toboggans, parcours,…Au Bois des Rêves loge le Musée de l’Eau et de la Fontaine, qui propose des animations scolaires et familiales pour sensibiliser aux problématiques de l’eau.
Le petit coin de paradis de Braine-l'Alleud réserve bien des surprises...Le charmant plan d'eau du "site du Paradis", conçu au départ comme bassin d'orage, est un lieu agréable de promenade, de pique-nique ou de repos sur un banc à l'ombre d'un arbre.Vous pouvez aussi faire un saut dans la grande piscine.Convivialité et plaisir sont véritablement les maître-mots de ce coin de verdure.
Installé depuis 1998 à Braine-l’Alleud, Kinepolis Imagibraine dispose de 10 salles soit une capacité de 2450 personnes. Il s'agit d'un complexe cinématographique ultramoderne et plus que jamais tourné vers sa clientèle.