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Romantique, apaisant, coloré… bien des adjectifs peuvent qualifier le Parc de la Dodaine !Situé au cœur de Nivelles, ville phare du Brabant wallon, ce remarquable écrin de verdure possède de multiples facettes. Lorsque le soleil laisse passer quelques un de ses rayons, cet endroit devient un véritable lieu de rendez-vous. Les étendues d’herbes se transforment en table de pique-nique et l’ombre des arbres en endroit propice à la sieste. Les canards et les oies se baladent le long des berges à la rencontre des visiteurs du parc, les plus sportifs d’entre nous se défoulent un instant autour du grand lac, les enfants prennent plaisir à la plaine de jeu… Et si vous y prêtez attention, dissimulée derrière quelques branches, la somptueuse Collégiale Sainte-Gertrude vous dévoilera une partie de ses charmes…Le parc, classé, offre à la vue deux types de jardin, français et anglais. On y trouve une fontaine et un étang de plusieurs hectares où la pêche est autorisée entre avril et décembre.
La Tour Simone, également appelée Tour du Diable et située à proximité de la collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles, fut pendant de nombreuses années le local du Serment des arbalétriers, un des corps de citoyens chargés de défendre les remparts de la ville. Rénovée en 2006, celle-ci constitue aujourd'hui le dernier témoin de l'enceinte médiévale de Nivelles qui fut construite au 12ème siècle. On y dénombrait non moins de onze tours et sept portes. Cette enceinte se composait d’une puissante muraille de 2,50 m d'épaisseur, bordée de fossés partiellement inondés à l'extérieur, et renforcée de remblais sur une largeur de 8 m à l'intérieur. Dans la tour, la salle de garde voûtée et percée d’archères accueille aujourd’hui un plan en relief de la ville de Nivelles telle qu’elle se présentait vers 1600, défendue par le rempart et ses fossés. La tour est actuellement accessible dans le cadre des visites guidées de la ville de Nivelles.
Célèbre Jacquemart doré qui, dans la tourelle sud de la collégiale, frappe les heures et les demies depuis 6 siècles. Il évoque le personnage qui signale l’approche de l’ennemi ou les incendies. On l’appelle Djan-Djan depuis son transfert en 1617 sur la tourelle de la collégiale.Selon la légende, Jean de Montmorency, seigneur de Nivelles au XVIe siècle refusa de se battre contre le Duc de Bourgogne, d’où la locution populaire : « il ressemble à ce (chien de) Jean de Nivelles qui s’enfuit quand on l’appelle ». Il devient quand même un héros local, symbole de l’esprit nivellois et de son humeur gaillarde. « Vive Djan-Djan, vive Djan-Djan » chantent les Nivellois… Il mesure 2,05 m et pèse 350 kg.
L'église à nef unique des Récollets à Nivelles, en Brabant wallon, dite aussi Saints Jean et Nicolas vous séduira par son architecture et son histoire. Il s'agit en effet de l’église d'un couvent de religieux franciscains qui lui est accolé. L’ensemble forme le seul complexe conventuel conservé à Nivelles, et c’est aussi un des rares exemples d’architecture franciscaine sauvegardée dans nos régions. Elle fait partie d’un complexe architectural remarquable construit à partir de 1524 grâce aux subsides de Charles Quint et de sa tante Marguerite d’Autriche. Selon la volonté de cette dernière, les religieux – qui s’étaient installés à Nivelles 20 ans après la mort de saint François d’Assise (1226) – se rattachèrent à la branche des « Frères Mineurs Récollets » qui vivaient de manière austère et retirée. Après les troubles et les démolitions des années 1580, l’église fut reconstruite et connut une longue période de prospérité et un rayonnement spirituel incontestable jusqu’à la fin du 18e siècle. Depuis le départ des derniers Frères au début du 19e siècle, le bâtiment connut des affectations diverses : hôpital, hospice, athénée Royal et établissement judiciaire. La procédure de classement des bâtiments conventuels est en cours. L’église, classée, fut rendue au culte en 1960 et sa restauration terminée en 1972. Le jeu de couleurs des pierres bleues et blanches met en valeur la grande simplicité de l’édifice typique du style gothique tardif brabançon. Les baies élancées et de puissants contreforts rythment avec élégance le vaisseau de ce vaste sanctuaire. Seul élément décoratif : les remplages de style gothique flamboyant qui ornent le haut des fenêtres. L’espace intérieur, profond et lumineux, dégage une impression de sobriété et d’élan vertical. La clé de voûte du chœur est ornée d’un écusson aux armes de Charles Quint. Une baie aménagée dans le mur latéral sud abrite la reconstruction de la châsse de sainte Marie d’Oignies.
Avec sa nef impressionnante de 102 mètres, ses deux chœurs opposés et sa crypte du 11ème siècle, la collégiale Sainte-Gertrude est le joyau de Nivelles ! C’est l’une des plus grandes églises romanes au monde.Ce monument grandiose, d’une harmonie exceptionnelle, a été consacré en 1046 par Wazon, évêque de Liège, en présence d'Henri III, empereur du Saint-Empire Germanique. La collégiale rassemble aujourd’hui régulièrement les chrétiens de la paroisse Sainte-Gertrude.Vous pourrez également visiter la crypte, le sous-sol archéologique, le cloître et le clocher central qui abrite les cloches et le carillon. La tourelle sud héberge le jacquemart Jean de Nivelles, petit guerrier en cuivre de 2,08 m de haut.La collégiale romane de Nivelles est splendide ! Ne tardez pas à la découvrir !
Ce musée communal est installé dans l'ancien refuge du prieuré des Trinitaires d'Orival dans une magnifique et paisible demeure du 18ème siècle. Il présente des trésors de la sculpture gothique brabançonne, des modèles réduits (bozetti) d'œuvres de Laurent Delvaux (18è s.), une tapisserie de Bruxelles (16è s.), des meubles anciens. Deux salles sont consacrées à l'archéologie préhistorique et gallo-romaine.
Classée patrimoine exceptionnel de Wallonie, l’Abbaye cistercienne de Villers-la-Ville est remarquablement préservée depuis le 12e siècle ! Découvrez son espace d’accueil-boutique avec un large choix de produits locaux, son centre d’interprétation et son parcours de visite. Profitez d’une vue panoramique à 180° sur l’ensemble de l’Abbaye. Et plongez dans le passé grâce à la nouvelle plateforme des médiations en ligne. Participez aux nombreux événements organisés dans ce lieu enchanteur.Admirez-y également la beauté de ses 8 jardins de styles très différents. Le Jardin des Simples est garni de toutes sortes de plantes utilisées lors de la vie quotidienne au Moyen Âge. Le Jardin des moines et le Jardin de la Pharmacie présentent des plantes médicinales d'hier et d'aujourd'hui. Le Jardin de l'Abbé, le Jardin des Senteurs et son Sentier méditatif ainsi que la ligne du temps des rosiers anciens forment les trois jardins d'ornement. Deux jardins de fruits viennent compléter cet ensemble : le verger conservatoire et expérimental et le fruitier de la Porte de Bruxelles.Visitez aussi la micro-brasserie et le vignoble.En famille, entre amis ou seul, (re)découvrez l’Abbaye de Villers-la-Ville, son architecture, son histoire, ses jardins et ses animaux !
Cette belle ferme, tout comme Hougoumont et la Papelotte, fut transformée en fortin par les Alliés (6 compagnies du 2ème bataillon d’infanterie légère de la Légion Germanique du Roi (KGL), renforcées plus tard par 2 compagnies nassauviennes). Lorsque les Français réussirent à occuper la ferme, il était trop tard pour changer le sort de la bataille.
Premier monument élevé sur le champ de bataille en 1817 par sa famille, en l’honneur du lieutenant colonel Gordon, 29 ans, aide de camp de Wellington et mortellement blessé durant la bataille.
Lieu emblématique de la bataille de Waterloo. Cette ferme fortifiée fut le cadre de combats meurtriers. Position avancée protégeant l'aile droite des alliés au même titre que la ferme de la Haie-Sainte et la ferme de Papelotte, Napoléon y déclencha l'action le 18 juin vers 11h30. Ce qui ne devait être au départ qu'une manœuvre de diversion est devenu le point le plus violent de la bataille. Les assauts français y furent terribles et vains. On s'y battit férocement jusque vers 19 heures. Le verger et le jardin changèrent sept fois de mains tandis que les bâtiments restèrent aux mains des 1 500 soldats de la coalition. Le corps de logis fut incendié. La maison que l'on voit aujourd'hui est l'ancienne maison du jardinier.Victor Hugo lui a consacré deux chapitres dans son ouvrage Les Misérables. Une nouvelle scénographie époustouflante. La ferme d' Hougoumont fait partie intégrante du ticket combiné Mémorial 1815 et renferme depuis le 18 juin 2015 une scénographie inédite: 4 salles d'exposition ainsi qu'un spectacle multimédia impressionnant! Heures d'ouverture et accès:Fermée en semaine du 06/01 au 22/02 Ouverture sur demande 48h avant. Ouverte les week end.Site web:www.waterloo1815.be/presentation-memorial-waterloo-1815/
Cette œuvre émouvante du sculpteur français Gérôme fut élevée à la mémoire de l’armée française et dédiée aux Derniers Combattants de la Grande Armée, à l’endroit présumé où le dernier carré de la Garde Impériale mena une ultime et vaine résistance face aux Alliés.
Victor Hugo réserva dans son œuvre un chapitre épique à la tragédie de Waterloo. Dans «les Misérables» et «Les Châtiments», il traduit la grandeur impériale et dévoile son naufrage dans ce qu’il appela la «morne» plaine.
Curieusement, la ferme de la Belle Alliance ne doit pas sa dénomination à la rencontre historique des deux vainqueurs de Waterloo, Wellington et Blücher, au soir de la bataille. Cette appellation lui fut attribuée, à la suite du mariage de la propriétaire du bien avec son valet de ferme !
Erigé en 1819 à Plancenoit, en souvenir des 6.700 Prussiens morts sur le champ de bataille, ce mémorial est dû au plus célèbre architecte allemand du XIXème siècle, Schinkel.
Soeur Sourire, auteur-interprète du retentissant tube «Dominique», n°1 au Top américain en 1963, a vécu dans le Couvent de Fichermont, situé à quelques centaines de mètres de la célèbre Butte du Lion.
Le 15 juin 1815, le duc de Wellington décida d’établir son hôpital de campagne dans la Ferme de Mont-Saint-Jean. Pendant et après la bataille de Waterloo, près de 6000 soldats y furent soignés.
Cet ancien hôpital, guère aseptisé, est aujourd’hui devenu un musée. Venez découvrir le travail des chirurgiens en temps de guerre, les instruments de chirurgie utilisés, les armes, les uniformes, les munitions,… avec une recontextualisation des faits impressionnante.
Des témoignages et des illustrations du travail du chirurgien écossais Charles Bell présent sur les lieux en juin 1815 seront également exposés.
L’histoire plus large de la ferme est aussi présentée. Vieille de plus de huit siècles, elle a été occupée par l’Ordre de Malte, s'est muée en exploitation agricole et a accueilli une brasserie. Profitez-en également pour déguster la bière de Waterloo, brassée sur place.
A 30 km de Bruxelles, le Château de plaisance de Bois-Seigneur-Isaac, classé « patrimoine exceptionnel de Wallonie », date du 18ème siècle. Sa façade de style classique français est agrémentée de larges baies vitrées en plein cintre et surmontée d’un fronton triangulaire. Vous y verrez encore une tour ronde avec ses meurtrières, qui témoigne de la forteresse féodale. Le château, qui remonte probablement au 12ème siècle, faisait partie d’une série de forteresses destinées à protéger les confins du Comté de Hainaut contre les intentions expansionnistes des Ducs de Brabant. A l'arrière du château, vous pourrez vous balader dans un charmant jardin français, prolongé d'un parc à l'anglaise. On peut y observer de nombreux arbres remarquables, vieux de plusieurs centaines d’années.La famille Snoy est, depuis cinq générations, propriétaire du château de Bois-Seigneur-Isaac. Il a par ailleurs hébergé Jean-Charles Snoy et d'Oppuers, co-signataire du Traité de Rome qui marqua la naissance de l'Union Européenne.Saviez-vous que le village de Bois-Seigneur-Isaac tient son nom d’Isaac de Valenciennes, un membre d’une illustre famille du Hainaut ? A la fin du 11ème siècle, il planta un bois, qui existe toujours, à 500 mètres du château, le long de la route de Lillois.