Charmant gîte tout confort sur 2 niveaux situé au calme, mitoyen au propriétaire avec un accès direct au grand jardin.

Le château Pastur porte aussi un autre nom : Château de la Comté.En effet, le château était la résidence des Comtes de Duras à partir du XIe siècle. Il n'était à cette époque qu'une petite fortification implanté sur un rocher bordé de la Gette et du ruisseau Saint-Jean.Cet emplacement lui conférait une excellente défense naturelle.Au XV siècle, le château était déjà devenu une sorte de ferme seigneuriale qui fit l’objet d’aménagements successifs durant les premières décennies du XVI siècle. En 1730, le comte de Romrée effectue des transformations qui donnent au château son style classique actuel. On construisit une écurie (l'actuelle Salle des Calèches) dont les murs et la magnifique fenêtre à double ogive datant de l'ère gothique encore présente, témoignent de l'ancienneté du bâtiment.Le château fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1971 et il doit son nom actuel au notaire Philippe Pastur qui en était le propriétaire au XIX siècle.Après avoir abrité un pensionnat pour l'école des soeurs du sacré-coeur et la direction d'un établissement scolaire, le château accueille actuellement l'hôtel de ville de Jodoigne ainsi que la bibliothèque et la ludothèque communale.

L’église Saint-Médard de Jodoigne actuelle, datant du XIIIe siècle, est classée et reconnue à juste titre comme un des joyaux du Brabant wallon. Cet important édifice de style roman et gothique, classé patrimoine exceptionnel de Wallonie, a retrouvé, grâce à une restauration pertinente dans les années 1970, sa splendeur originelle.Cette église fut bâtie près de l'ancienne église, qui fut léguée en 1180 à l'ordre des Hospitaliers par Gilles de Duras, ainsi que près d'un ancien site religieux gaulois.Dès l’entrée, la chaude et blanche pierre calcaire de Gobertange donne à l’édifice tout son éclat. Du large transept, le regard est attiré par le chœur en abside semi-circulaire et de sobres statues polychromes dont celle du saint patron, Médard, évêque évangélisateur, né en 457, dont on connaît la réputation de «faiseur de pluie». En observant fixement la statue du saint, on a l’impression que ce dernier vous sourit.

Classée patrimoine exceptionnel de Wallonie, l’ancienne Abbaye de la Ramée est remarquablement préservée. Elle est un témoin majeur de l’architecture agricole de la région et sa grange spectaculaire (1722) est considérée comme la plus importante du pays ! Le volume exceptionnel de ce bâtiment destiné à stocker les récoltes révèle l’ampleur des terres que possédait l’institution ecclésiastique.L'Abbaye de la Ramée est à présent destinée à accueillir des événements, des réceptions et des séminaires.Le domaine de l'Abbaye, bien entretenu, présente de grandes pelouses arborées entourant un large étang et deux pièces d'eau, une petite grotte-chapelle ainsi que le cimetière de l'ancien couvent présent jusqu'en 2007. Il est également pourvu d'un fruiticum où sont sauvegardées plus de 350 variétés anciennes de plantes.Le domaine est accessible librement, ainsi que la cour de l'Abbaye. L'intérieur des bâtiments est privé et interdit au public.

Dernier moulin à vent en activité dans la province de Namur , construit en 1830 par la famille Defrenne qui le possède depuis cinq générations. Ce moulin tour en pierre, a fait l'objet d'un classement en 1962 et d'une complète restauration dès le début des années 1990. Le meunier, Monsieur André Defrenne-Loise, vous expliquera avec passion le fonctionnement de la machinerie de « son » moulin, le langage du positionnement des ailes qui autrefois accomplissaient une rotation de 15 tours à la minute. Le métier se transmet ici de père en fils depuis 174 ans ! Après avoir vu se transformer le grain en farine, vous pourrez acheter un savoureux pain et déguster de traditionnelles tartines au fromage blanc ou au pâté dans un cadre chaleureux et rustique. Visite du moulin: les dimanches à 16:30 groupes, écoles tous les jours sur rendez-vous

Isolée et agréablement implantée de biais dans le talus, sous un arbre, la chapelle Saint-Antoine était appelée autrefois chapelle du Comte. Il s'agit d'une construction du 19e siècle, en brique blanchie et en calcaire sous bâtière d'ardoise, qui doit son originalité à son pignon très aigu, autrefois entre deux vasques Empire disparues.

En plus de son incroyable Abbaye, Villers-la-Ville et ses alentours regorgent de petits endroits insolites, de balades romantiques, et de petits trésors cachés.Ne manquez pas de les découvrir et de repartir avec encore plus d'idées et de documentation en passant la porte du Syndicat d'Initiative, situé en face de l'entrée de l'Abbaye.

La microbrasserie des Hostieux Moines de l’Abbaye de Villers en Brabant est installée dans l’ancienne buanderie de l’Abbaye, au sud du moulin. Les grandes cuves accueillent les trois bières des Hostieux Moines, à savoir la Lumineuse, la Ténébreuse et la bière de Noël, la Dom Placide.Des animations et des visites y sont prévues tout au long de l'année.

Classée patrimoine exceptionnel de Wallonie, l’Abbaye cistercienne de Villers-la-Ville est remarquablement préservée depuis le 12e siècle ! Découvrez son espace d’accueil-boutique avec un large choix de produits locaux, son centre d’interprétation et son parcours de visite. Profitez d’une vue panoramique à 180° sur l’ensemble de l’Abbaye. Et plongez dans le passé grâce à la nouvelle plateforme des médiations en ligne. Participez aux nombreux événements organisés dans ce lieu enchanteur.Admirez-y également la beauté de ses 8 jardins de styles très différents. Le Jardin des Simples est garni de toutes sortes de plantes utilisées lors de la vie quotidienne au Moyen Âge. Le Jardin des moines et le Jardin de la Pharmacie présentent des plantes médicinales d'hier et d'aujourd'hui. Le Jardin de l'Abbé, le Jardin des Senteurs et son Sentier méditatif ainsi que la ligne du temps des rosiers anciens forment les trois jardins d'ornement. Deux jardins de fruits viennent compléter cet ensemble : le verger conservatoire et expérimental et le fruitier de la Porte de Bruxelles.Visitez aussi la micro-brasserie et le vignoble.En famille, entre amis ou seul, (re)découvrez l’Abbaye de Villers-la-Ville, son architecture, son histoire, ses jardins et ses animaux !

La commune de Villers-la-Ville vous réserve un véritable trésor verdoyant... Dans cette ancienne sablière, la réserve naturelle de Gentissart bénéficie d’une grande biodiversité.Ce site regroupe plusieurs plans d’eau qui accueillent une faune et une flore riches en espèces.Le public et les écoles peuvent s’y rendent, sur demande, afin d’y observer la nature et les animaux qui y trouvent un habitat privilégié.

Le Mémorial KongoloLe Mémorial Kongolo est une émouvante chapelle commémorative conçue par l’architecte gembloutois Charles Jeandrain, construite en 1967. Sa façade porte les noms de 217 hommes et femmes tués lors des troubles du début des années 1960 au Congo, sans distinction de nationalité ou de croyance. Parmi eux, vingt missionnaires belges spiritains assassinés en 1962 à Kongolo. La représentation d’un missionnaire à genoux, à l’extérieur de la chapelle, est du sculpteur belge Raf Mailleux. Les vitraux abstraits très colorés sont du maître-verrier nantais Yves Dehais.Le château de GentinnesLe château d’origine (1648), surmonté d’un clocheton, est enfoui dans l’ensemble monumental actuel, implanté dans un parc agrémenté d’un étang. Ses constructeurs sont Thomas Lopez de Ulloa et sa femme Jeanne Nobili, acheteurs de la seigneurie de Gentinnes en 1645. Une famille d’Udekem sera héritière de ce couple et un de ses membres fera construire la longue aile néoclassique surmontée d’un fronton après 1750. Le domaine passera par les mains de deux autres familles avant d’être acquis en 1903 par des Pères du Saint-Esprit venus de France. Une école apostolique française, belge, un collège et un centre d'animation spirituelle et missionnaire y seront créés successivement. Les Spiritains prolongeront l’aile droite en retour d’équerre du château en 1910-1912 et l’aile gauche en 1955 et 1961-1962.

Le bureau de l’office du tourisme de Walhain se trouve au sein de la maison communale.L’entrée se fait par le petit jardin à l’arrière du bâtiment. Accès PMR.Walhain est labellisé « Bienvenue vélo » : un équipement de petites réparations est à votre disposition dans l'abri à vélo. L’office du tourisme vous invite à découvrir de jolies balades, à pied ou à vélo, au calme de sa campagne, grâce aux différentes cartes et circuits de promenades mis à votre disposition.Consultez régulièrement la page Facebook pour connaître nos permanences estivales et le programme varié des visites guidées qui sont proposées.

Tous deux situés à un croisement de chemins en étoile, au hameau de Libersart, ces tumuli témoignent de la présence d'un vicus à Tourinnes-Saint-Lambert aux 2ème et 3ème siècles de notre ère.

La présence de tumuli en Hesbaye est relativement fréquente. On en dénombre, encore aujourd'hui, une petite cinquantaine dans un espace géographique regroupant le Brabant wallon, le sud du Limbourg, la province de Liège et le nord de celle de Namur. Il en existait beaucoup plus, mais bon nombre de ceux-ci ont disparu à l'heure actuelle.
Le développement de la Cité des Tongres et le tracé de nombreuses routes romaines dans la région, dont l'importante chaussée Bavay-Tongres-Cologne, explique en partie la prolifération de ces tombes gallo-romaines.

Inscrites sur la "route des tumuli de Hesbaye", les deux tombes de Libersart sont espacées d'une centaine de mètres l'une de l'autre. Le tertre ouest dissimulé dans un bosquet, s'élève à une hateur d'envrion 4 mètres 50.

Le tertre est, situé dans une parcelle cultivée, atteint une hauteur de 6 mètres 20.

Ces deux tumuli ont été fouillés en 1910 et 1911 par la société Archéologique de Bruxelles.
Mis à part la trace d'un pieu de bois au centre du tumulus ouest, les recherches furent infructueuses car, comme la majorité d'entre eux, ils furent probablement pillés au cours du temps.

Les tumuli de Libersart ont été classés comme Site en 1972.

Saviez-vous que le centre géographique de la Belgique se situe en Brabant wallon, et plus précisément à Walhain ? Au lieu-dit "Le Tiège", dans la vallée du Nil, une structure métallique a été installée en ce point précis. Elle a été construite par un architecte de la commune et intègre divers symboles propres à la Belgique :- le socle représente la croute terrestre,- le triangle schématise la Belgique,- les trois pylônes symbolisent les trois régions.Avant le Traité de Versailles en 1919, le centre de la Belgique était placé à Ittre car les cantons de l’Est n'étaient pas intégrés au royaume.

Classé comme Monument historique en 1946, ce moulin à vent a été érigé en 1834 par la famille Thienpont et constitue le plus bel exemple du Brabant wallon.

Au confluent du Hain et du ry des Radas, dans un cadre topographique relativement bien préservé, se nichent les ruines du château féodal des XIIe et XIIIe siècles. Celui-ci fut le centre d'une seigneurie qui se développa dans la seconde moitié du XIIe siècle avec la famille des Walhain. Après être passée entre différentes mains, la seigneurie tomba dans l'escarcelle de la puissante famille des "de Glimes" et des "de Bergues" de 1430 à 1567. Ce fut son heure de gloire car, en 1532, Charles-Quint érigera la terre de Walhain en chef-lieu d'un comté qui comprenait de nombreux villages des alentours ainsi que la ville de Wavre. C'est à ce moment que le château-fort fut réaménagé en château de plaisance. Les ruines du château féodal sont encore entourées d'un double réseau de douves, aujourd'hui asséchées. Édifié en plusieurs étapes à l'époque médiévale, il présente les caractéristiques du château philippien, à savoir un plan polygonal dont le donjon occupe l'un des angles. Ce dernier, la partie la mieux conservée et la plus ancienne, remonte à la fin du XIIe siècle. De la poterne, des courtines et des tours d'angle, édifiées quelques décennies après le donjon, il ne subsiste que la base.Le château féodal est classé comme Monument Historique depuis 1955 et comme Site depuis 1980.Le site est accessible sur demande à l'Office du Tourisme de Walhain.

La pierre qui en était extraite entre 1754 et 1975 est le quartzite, pierre très dure qui fut utilisée déjà bien avant la carrière actuelle et qui compose les sites remarquables de la commune, naturels ou érigés par l’Homme. La carrière fut l’une des principales activités économiques de la région durant la période industrielle, avec l’agriculture et particulièrement la culture du lin. Elle fut lancée à la suite de la construction de la chaussée Namur-Louvain. Aujourd’hui, elle offre un paysage magnifique avec un lac impressionnant issu d’une eau souterraine, entouré de pans de roche et de végétation. La balade nature qui en fait le tour permet de la découvrir sous tous ses aspects. La passerelle de la Maison de la Nature surplombe la carrière et offre une belle vue sur son ensemble. L’eau n’est cependant pas accessible et le site est entouré d’une clôture. La baignade y est interdite.

Ce grand moulin blanc en briques se dresse à la sortie d'Opprebais.Autrefois en bois, il fut reconstruit en briques par les frères Gustot dont il tire son nom.Restauré il y a peu, son emplacement peut être loué à la commune le temps d'une journée.

Construit dans le courant du 17ème siècle, agrandi et modifié légèrement aux 18ème et 19ème siècles, ce château-ferme témoigne de l’architecture mosane qui disposait autrefois autour d’une cour carrée les bâtiments construits en matériaux traditionnels tels que la brique, la pierre bleue et l’ardoise. Ce château et ses jardins abritent de surcroît des expositions et collections d’art. L’Espace EXIT11 accueille la création contemporaine, laissant essentiellement la place à la jeune création belge et internationale. Le parc de 5 ha. devient écrin pour accueillir sculptures européennes et africaines en permanence et installations temporaires au gré des rencontres avec artistes et créateurs.Possibilité de visite pour 2 groupes de 30 personnes avec 2 guides différents qui font des circuits de visites alternés (1h30, 70€/groupe).Si vous êtes à la recherche d’un lieu attrayant et original pour l’organisation d’un séminaire, d’un mariage ou de toute sorte d’évènement, le Château de Petit-Leez répond à vos besoins : salles, traiteurs partenaires de qualité et un accueil personnalisé et professionnel. Retrouvez toutes les informations ici.

Nichée entre les provinces de Namur et du Brabant wallon, dans un coin de nature préservé et de trésors architecturaux, Sambre-Orneau constitue une destination de choix. Terre d’Escales, elle propose une offre touristique étonnante pour des séjours en tous genres.Vous la connaissez sûrement sans le savoir. Elle abrite le célèbre Espace de l’Homme de Spy, le lieu de la dernière victoire de Napoléon à Ligny et compte un grand nombre de bières de renommée telles que la Bertinchamps ou la Floreffe. Elle recouvre les communes de Floreffe, Gembloux, Jemeppe-sur-Sambre, Sambreville et Sombreffe.Grâce à sa position stratégique sur la route de nombreuses destinations, suivez-nous pour une escapade dépaysante dans cette région où balades, paysages champêtres, produits du terroir, patrimoines historiques et industriels règnent en maîtres !

L'Office du Tourisme se situe juste à côté de l'Abbaye de Gembloux et partage ses locaux avec la Maison du Tourisme Sambre-Orneau. Cette commune, longtemps considérée comme la capitale de la Coutellerie regorge de trésors architecturaux. L'essor de la ville est étroitement lié à l'existence de l'Abbaye Bénédictine dont le domaine héberge maintenant la Faculté Universitaire AgroBiotech (ULG).

L'abbaye fut supprimée à la Révolution française et son domaine fut vendu comme bien écclésiastique nationalisé. En 1860, s'y installa l'Institut supérieur agricole, qui devint au fil du temps l'actuelle Faculté universitaire des Sciences agronomiques. Depuis 2009 et son intégration à l’université de Liège, la faculté s'appelle "Gembloux Agro-Bio Tech" (GxABT).Vous pouvez découvrir l'ancienne ferme et la grange, qui abrite maintenant un vaste amphithéâtre à gradins, la cour d'honneur et le palais abbatial, le quartier monastique et le cloître, ainsi que le cellier roman du XIIe siècle, unique vestige de l'abbaye médiévale.Les touristes individuels peuvent accéder librement au site durant la semaine.Visites sur réservation pour groupes de 20 pers. minimum, organisées par l'Office du Tourisme de Gembloux - rue Sigebert, 1 - 5030 Gembloux - tél. : 081/62.69.60

Le beffroi de Gembloux constitue la tour de l’ancienne église paroissiale Saint-Sauveur dont l’origine semble remonter au 10e siècle. Cette tour fut exhaussée au fil du temps. L’église Saint-Sauveur fut désaffectée en 1810 puis détruite. Seule subsista la tour conservée comme beffroi. En 1905, un incendie ravagea le clocher du beffroi. Dès 1907, un nouveau clocher, à l’aspect bulbeux, le remplaça. Le beffroi a été classé en juin 1977. En juillet 2005, il a rejoint les autres beffrois belges et français inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Gembloux fut longtemps considérée comme la capitale de la coutellerie en Belgique. Cette activité y apparut dès la première moitié du 18e siècle, mais demeura artisanale jusqu'à la première moitié du 19e siècle. Au début du 20e siècle, l'industrie de la coutellerie employait quelque 400 personnes. Le musée de la Vie Locale aborde la vie de et à Gembloux, de l'Antiquité à nos jours, grâce à une collection d'objets provenant de l'étude et des fouilles de l'abbaye bénédictine de Gembloux (9e-18e siècles). Ouvert chaque premier samedi du mois de 14h à 17h.

Meublé doté de tout le confort moderne associé à une décoration originale. Situé dans un cadre verdoyant, à deux pas du centre de gembloux, de la gare et des accès autoroutiers (E411 et E42).

La Ferme de Ferooz a été réaménagée en 3 gîtes alliant confort moderne et charme. Située dans un cadre exceptionnel (prairies pour chevaux, étang, ..) et proche des grands axes routiers ( E411, E42, N4) Le gîte "La Ferme" est un bel ensemble en briques et pierres bleues du 19ème siècle comprenant une tour carrée du 15ème siècle, vestige de l'ancienne seigneurie de Ferooz.

L'ancienne abbaye d’Argenton était une abbaye de moniales cisterciennes. Fondée en 1229 et reconstruite au XVIII? siècle, elle fut supprimée en 1796, lors de la période révolutionnaire.Dominant la vallée de l'Arton, ensemble isolé en briques et pierres bleues en grande partie reconstruit au XVIII (1722-1747 et 3ème quart du siècle). A l'exception du cloître et de la brasserie disparus au milieu de XIX siècle, quasi tous les bâtiments sont encore en place. Ralliée à l'Ordre de Cîteaux et dépendant de l'abbaye de Villers-la-Ville, l'abbaye d'Argenton demeura en fonction jusqu'à la Révolution française puis devint une ferme.Tous les bâtiments furent classés en 1989. Le site est classé depuis 1992 ainsi que le moulin d'Harton, situé en contrebas, qui a appartenu à l'abbaye.Propriété privée. Ne se visite pas.

Moulin à vent circulaire et taluté datant de 1830, c’est un rare témoin de nos régions. Il appartient toujours aux mains de la famille Defrenne. Il fut classé en 1962 et restauré en 1990.

Plaine de jeux, étang de pêche, tables de pic-nique, ...

Situé 7 km à l’est du centre de Gembloux, ce bois est traversé par plusieurs circuits de promenade qui débutent le long de la route reliant Grand-Leez à Aische-en-Refail, à environ 200 m de la lisière occidentale du bois. Les promenades y sont limitées à la partie méridionale du site, au sud d’un chemin pavé. Elles vous permettront d’apprécier le relief typique de la région limoneuse de moyenne Belgique : peu accidenté et mollement ondulé.